Avant tout, sachez que si vous avez entamé votre Prêt Garanti par l’État (PGE), c’est qu’il faut adapter les mesures d’accompagnement (chômage partiel, report ou allègements de charges sociales et fiscales…) ne sont plus adaptées à votre situation, laquelle va inéluctablement s’aggraver.
Si vous l’avez consommé, alors, la situation est critique.
Dans tous les cas, passez à l’action maintenant, avant qu’il ne soit trop tard !
Quoi faire ?
Tout d’abord, vous devez vous placer sous la protection du Tribunal le plus tôt possible. Cette action sera décisive pour la survie de votre entreprise. Avant de percuter le mur, il existe des actions que vous pouvez mener pour passer le cap difficile.
Entre autres, la loi offre des dispositifs de protection des entreprises en fonction de l’intensité des difficultés :
- la prévention, lorsque vous savez qu’elles vont arriver à terme, ou qu’elles sont mineures pour l’instant,
- la sauvegarde, lorsqu’elles peuvent conduire à l’état de cessation des paiements; c’est à dire lorsque vous ne pourrez plus payer vos dettes avec vos disponibilités,
- le redressement judiciaire, lorsque vous êtes en état de cessation des paiements,
- la liquidation judiciaire, lorsqu’elles sont insurmontables.
Alors, pourquoi attendre ?
Malheureusement, trop de chefs d’entreprises sont réticents à s’adresser au Tribunal, car ils pensent que :
- c’est l’aveu d’un échec,
- ils vont perdre le contrôle de leur entreprise,
- pour certains, ils craignent que le Tribunal découvre qu’ils ont mal géré, ou encore qu’ils ont commis des fautes dans la gestion de leur entreprise,
- enfin, la procédure va leur coûter cher.
Ils ont tous tort
Voici pourquoi :
- tout d’abord, ce n’est pas un échec, mais un outil de gestion; finalement, l’objectif est de franchir le cap difficile en restructurant les dettes, à l’amiable ou par décision du Tribunal,
- ensuite, le Tribunal ne peut rien faire sans le chef d’entreprise. Quand le juge prononce la liquidation judiciaire, c’est que le chef d’entreprise a trop tardé, et personne ne peut plus rien faire,
- après, un chef d’entreprise qui n’a pas commis d’erreur, je n’en connais pas. Il faut savoir qu’en homologuant un plan de sauvegarde ou de redressement judiciaire, par exemple, la loi prévoit qu’on ne peut plus poursuivre le chef d’entreprise en responsabilité commerciale le temps du plan,
- enfin, les émoluments des mandataires et les frais de greffe sont tarifés, donc on connaît les coûts à l’avance. Pour votre expert-comptable et votre avocat, les honoraires sont librement fixés avec eux, il faut juste que vous demandez combien leur accompagnement va vous coûter.
Faire le choix du Cabinet CTN
Finalement, la prise en charge de vos difficultés par le Cabinet CTN c’est :
- être accompagné par un cabinet d’avocats soumis au secret professionnel qui vous conseille au mieux de vos intérêts avec bienveillance et discrétion,
- être conseillé sur la procédure la mieux adaptée au traitement de vos difficultés,
- connaître ses honoraires à l’avance grâce à ses offres de services : les Packs | Entreprises en difficultés. Les honoraires sont tellement transparents que vous pouvez faire votre devis en ligne ! Essayez, le simulateur est disponible en cliquant ICI.
- être assisté par un professionnel moderne, qui privilégie le traitement dématérialisé des dossiers : prise de rendez-vous en ligne, suivi de dossier en temps réel, entretiens en visioconférence ou par téléphone pour vous éviter les frais et temps de déplacements inutiles. Tout au long de la procédure, vous restez au plus près de votre entreprise.
Faire un commentaire